Ils seront quatre ou cinq membres de la CMA à être annoncés dans le futur gouvernement. Cela conformément à l’application de l’accord de paix. Cependant, deux problèmes majeurs se posent. Premièrement, les mouvements auraient du mal à désigner leurs représentants. Aussi, la CMA campe toujours sur sa position d’occuper certains ministères stratégiques.
Alors IBK va-t-il (une fois de plus) se plier aux exigences des rebelles ? C’est là toute la question.