Elle doit être sensibilisée afin de comprendre son rôle crucial dans la sécurisation de la cité
S’il est vrai que l’insécurité, comme l’a confirmé le sondage d’opinion « Malimètre », occupe le peloton de tête des préoccupations de nos compatriotes, il est tout aussi vrai que sans l’aide du public, il serait vain de chercher à endiguer ce fléau.
C’est fort de cette vérité que se tient depuis hier au Grand hôtel de Bamako un atelier sur le thème : « Quelle contribution de la société civile pour relever les défis de la sécurité humaine au Mali à travers la réforme du secteur de sécurité ?
Organisée conjointement par le Centre pour le contrôle démocratique des forces armées (DCAF), le Réseau ouest-africain pour la consolidation de la paix (Wanep) et le Collectif pour la sécurité humaine (HSC), la rencontre doit durer trois jours.
La cérémonie d’ouverture était présidée par le coordinateur de la Cellule nationale pour la réforme du secteur de la sécurité, l’inspecteur général Ibrahima Diallo. Il avait à ses cotés Maarten Brouwer, l’ambassadeur des Pays Bas, le professeur Naffet Keïta, membre du conseil d’administration Wanep, Orenella Moderan, coordinatrice de projet à DCAP, et Siebrich Visser de HSC.
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