Au Mali, des accrochages ont opposé, le 15 août dernier, des groupes armés pro-gouvernementaux à des éléments de la rébellion à dominante touareg. Les miliciens pro-Bamako ont pris le contrôle d’Anéfis, et provoqué – en réaction – la mise en place, par la mission de l’ONU, d’une zone de sécurité autour de Kidal, pour éviter une extension du conflit.
La mesure fait débat, dans un camp, comme dans l’autre.
Les rebelles ont suspendu leur participation au comité de suivi de l’accord de paix.
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