Jusqu’à ce jour, les élections régionales et communales sont fixées au 25 octobre. Une échéance impossible à tenir, selon les acteurs politiques, les mouvements armés et des membres du gouvernement, qui soulignent que les autorités sont prises au piège et ne savent plus comment se dépêtrer de ce bourbier électoral construit l’année dernière par la violation de la loi qui n’autorisait pas plus d’un report. Malheureusement, on en eu deux pour éviter de nommer des délégations spéciales que les partis, notamment celui au pouvoir, ne voulaient pas.
Ce faisant, le gouvernement s’est pris au piège et réfléchit à la formule pour se sortir de cette impasse sans perdre la face. A la Primature, on assure que “le gouvernement n’est fermé à aucune proposition, mais il ne bougera que si les partis politiques le demandent”.
Autrement dit, le report est fortement envisagé à condition que les partis en fassent la demande. Entre-temps, on aura englouti des dizaines de milliards dans l’organisation de scrutins qu’on savait impossibles à tenir. On pourra envisager de porter plainte contre X pour gaspillage de “fonds publics”.
DAK