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Amnesty appelle à éviter les pertes civiles au Mali
Publié le mardi 15 janvier 2013  |  ATS




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Amnesty International a appelé toutes les parties au conflit armé au Mali à veiller à la protection des civils. L`ONG est "très préoccupés par le fait que les combats pourraient conduire à des attaques aveugles ou illégales". François Hollande a précisé les objectifs français.

"Les forces impliquées dans les attaques armées doivent à tout prix proscrire les bombardements aveugles et prendre toutes les mesures pour éviter les pertes civiles", a déclaré Paule Rigaud, directrice adjointe du programme Afrique d`Amnesty International (AI), citée dans un communiqué.

Poursuite des bombardements
Avec le soutien français, l`armée malienne a lancé une contre-offensive contre les groupes islamistes armés le 11 janvier, afin d`empêcher la conquête de villes du sud du pays. Le président français François Hollande a annoncé que de nouvelles frappes avaient "atteint leur objectif" dans la nuit de lundi à mardi.

Il a également indiqué que le nombre de militaires français engagés dans l`opération était de 750 et qu`il allait augmenter "pour qu`ensuite, le plus rapidement possible, nous puissions laisser la place aux forces africaines". Paris va "continuer à avoir des forces au sol et dans les airs", a ajouté M. Hollande, selon qui le déploiement de la force africaine "va prendre une bonne semaine".

L`intervention, "seule solution"
Le président français a également affirmé depuis Dubaï, où il est en visite, que l`intervention militaire au Mali avait trois objectifs: "arrêter l`agression" des islamistes, sécuriser Bamako et préserver l`intégrité territoriale du pays. Il a précisé que la France n`avait "pas vocation à rester au Mali".

Il a ajouté que son pays ferait "tout pour libérer" les otages au Mali et que l`intervention militaire était "la seule solution" pour bloquer la progression des groupes islamistes armés.

Les otages, "j`y pense à chaque instant mais j`ai considéré que l`intervention était la seule solution. Nous ferons tout pour qu`ils puissent être libérés. Ceux qui les ont capturés, détenus doivent réfléchir. Il est encore temps de les rendre à leur famille", a déclaré M. Hollande.

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