Un mois après l’installation de Bah N’Daw comme président de la transition et la formation d’un gouvernement, l’organe législatif n’a pas encore été mis en place.
C’est à un jeu d’équilibriste que s’apparente la formation du Comité national de transition (CNT). Un mois après la nomination de Bah N’Daw comme président de la transition, puis la formation du gouvernement de Moctar Ouane, l’organe législatif à mettre en place jusqu’aux prochaines élections fait l’objet d’âpres discussions entre une multitude d’acteurs.
LA JUNTE SOUHAITE GARDER LA MAIN SUR LA TRANSITION