La question fait débat au sein d'une population qui se réjouit qu’il n’y ait pas eu un nouvel embargo économique après le coup de force du 25 mai dernier.
Les sanctions politiques de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) et de l'Union africaine mettent les militaires putschistes sous pression.
Après la Cédéao dimanche dernier (30.05), c'était en effet au tour de l'Union africaine hier mardi (01.05) de suspendre le Mali de toutes ses instances jusqu'à ce que l'ordre constitutionnel normal soit rétabli dans le pays.
L'UA demande également aux militaires maliens au pouvoir de regagner d'urgence, "sans conditions" leurs casernes et de s'abstenir de toute nouvelle ingérence dans le processus politique au Mali.... suite de l'article sur Autre presse