Bars, restaurants, espaces de loisirs, tout est vide. Un sale temps pour les noctambules. Une mauvaise affaire pour les promoteurs de ces endroits qui ne voient plus de clients. Les promoteurs d’hôtels et autres bars restaurants se plaignent. Ils pensaient pouvoir ‘tirer les marrons du feu’ à l’occasion que du sommet du CILSS. Malheureusement, les participants à cette grande rencontre ont été partagés entre deux grands hôtels de la capitale. Les autres se sont contentés d’une personne. En principe, pendant les sommets, les gens s’invitent dans les bars-restaurants. Tel n’a pas été le cas. Parce qu’il a été dit aux participants d’être prudents. Ceux qui sont sortis se sont rendu compte que Bamako était une ville morte où rien n’était pas comme auparavant, nuitamment, bien sûr !