Économie
Commercialisation des céréales : Des organisations paysannes performaantes
Publié le lundi 28 septembre 2015 | L’Essor

© aBamako.com par I.DIA
Fondation Pour l`Enfance fait des dons aux sinistrés des inondations Bamako, le 05 Septembre 2013, à la mairie de la commune IV du district de Bamako. La Fondation Pour l`Enfance de Mme Touré Lobbo Traoré, ex-première Dame du Mali, représentée par son Administrateur Délegué, Dramane Ouattara, a remis cinq tonnes de riz au Maire de la commune IV, Moussa Mara pour les sinistrés des inondations. |
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Leur réorganisation s’impose afin de leur permettre de tirer le meilleur bénéfice de leurs activités
L’Observatoire du marché agricole (OMA), en collaboration avec l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture du Mali (APCAM), l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) et la Direction nationale du commerce et de la concurrence (DNCC) a organisé le week-end dernier un atelier de plaidoyer pour améliorer la performance des associations et coopératives paysannes dans le cadre de la commercialisation des céréales.
L’atelier qui s’est tenu au ministère du Développement rural, a regroupé les acteurs du monde agricole (producteurs et transformateurs de céréales, de lait, viande, volaille, poissons, bananes et autres produits agricoles), les ONG, les services techniques nationaux et régionaux.
La situation des céréales a des répercussions directes sur l’état de la sécurité alimentaire. La famine, qui jadis était un phénomène universel, semble aujourd’hui être un fléau qui ne sévit qu’en Afrique. La plus grande tragédie des famines qui menacent le continent, notamment le Sahel, est que ces pénuries aiguës de ressources alimentaires semblent inévitables au regard des conditions climatiques. Elles résultent, également, dans une large mesure de l’insuffisance de dispositifs adéquats capables d’endiguer le phénomène, établissent les analyses et les échanges qui ont marqué la rencontre.
Les causes profondes de cette pénurie grave et répétée des ressources alimentaires sont assez connues. Elles sont d’ordre climatique, technique, mais aussi organisationnel et nécessitent des solutions idoines qui sont envisageables à partir de l’élaboration d’une plateforme, d’une stratégie d’intervention dynamique visant à bâtir un système robuste de sécurité alimentaire.
Face à une telle situation, l’atelier a préconisé d’assigner des missions spécifiques à des structures ayant la vocation et la capacité de contenir le phénomène grâce à la constitution et la maintenance en veille d’un type de stocks appropriés de céréales, essentiellement destiné à la satisfaction permanente des besoins croissants des populations rurales et urbaines. ... suite de l'article sur L’Essor

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