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Traite des noirs en Libye : « Nous, les gens du mouvement démocratique nous sommes responsables… » dixit l’ancien ministre Cheick Oumar Sissoko
Publié le dimanche 24 decembre 2017  |  francetvinfo.fr
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"La crainte, le désarroi et la tristesse" : un an jour pour jour après l'enlèvement de Sophie Pétronin au Mali, son neveu a confié sa peine à franceinfo. "On n'a aucune info concrète sur son lieu de détention et surtout sur son état de santé" a-t-il regretté

Il y a un an jour pour jour, la Française Sophie Pétronin était enlevée par des hommes armés à Gao, dans le nord du Mali, où elle dirigeait une association d'aide à l'enfance. Depuis, ses proches vivent "dans la crainte, le désarroi et la tristesse", a expliqué dimanche 24 décembre sur franceinfo son neveu Arnaud Granouillac.

"Cette journée, on aurait voulu la passer avec elle", a-t-il affirmé, précisant être sans nouvelles de sa tante depuis le 2 juillet dernier, date de la diffusion d'une vidéo de revendication de la branche d'Al-Qaïda au Mali dans laquelle apparaît Sophie Pétronin.

Agée de 72 ans et atteinte d'un cancer
"On n'a aucune info concrète sur son lieu de détention et surtout sur son état de santé. Elle a 72 ans et elle a un cancer", a rappelé Arnaud Granouillac. "On sait que c'est une battante et qu'elle doit lutter avec le peu de forces qui lui restent."

Mais "l'espoir s'amenuise de jour en jour et on se sent un peu abandonnés", a-t-il expliqué, malgré "des rendez-vous réguliers" au Quai d'Orsay. "On ne peut pas dire qu'il y ait une grande communication" de la part des autorités.

Emmanuel Macron ne "facilite" pas "les négociations"
"On fait des recherches de notre côté, parce que ça n'avance pas beaucoup", a-t-il pointé, précisant que le fils de Sophie Pétronin se rendrait au Niger "le 28 décembre".

Selon lui, "la dernière sortie médiatique du président Macron" n'est pas de nature à "faciliter les négociations" et "apaiser les tensions" sur place. En juillet dernier, le président avait souligné que les ravisseurs de Sophie Pétronin n'étaient "rien" et qu'ils seraient "éradiqués".

... suite de l'article sur Autre presse

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