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Goodluck Jonathan de nouveau à Bamako du 05 au 07 septembre : L’aplanissement des divergences au menu de sa mission
Publié le mardi 31 aout 2021  |  aBamako.com
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© aBamako.com par AS
Lecture du Communiqué de la Mission d`évaluation de la CEDEAO au Mali
Bamako, le 12 mai 2021. Le Médiateur de la CEDEAO pour la Transition au Mali , Goodluck Jonathan, a rendu public le communiqué final au terme de la Mission d`évaluation qu`il a effectuée du 08 au 12 mai à Bamako.
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Pour le suivi-évaluation de la transition en cours dans notre pays, le médiateur de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), l’ancien chef d’État nigérian Goodluck Jonathan, est de nouveau attendu dans nos murs du 5 au 7 septembre prochain. Objectif de cette visite : concilier les points de vue discordants des uns et des autres dans un contexte politique quelque peu tendu.

Un éclaircit a à chaque fois succédé aux temps impies consécutifs aux évènements du 18 août 2020 et du 24 mai 2021. C’est le moins que l’on puisse dire de la transition en cours dans notre pays ; transition au compte de laquelle l’émissaire de la CEDEAO n’a de cesse de noter des avancées. La dernière en date constatée par Goodluck Jonathan est l’approbation le 2 août dernier du Programme d’action gouvernemental (PAG) par l’écrasante majorité des membres du Conseil national de Transition (CNT). Dès lors, de nouveaux nuages se sont formés dans un ciel qui s’assombrit au fil des jours avec des appréciations différentes autour des sujets que sont : l’Organe unique de gestion des élections, les Assises nationales de la refondation et la durée de la Transition.

Si d’aucuns croient dur comme fer que cette transition va réussir le pari d’un Mali nouveau via des réformes politiques et institutionnelles ainsi que des Assises nationales de la refondation ; d’autres estiment que cette mission incombe aux nouvelles autorités à mettre en place à l’issue des élections que la transition est censée organiser dans les délais. C’est ainsi que le Cadre d’échange des partis et groupements politiques pour une Transition réussie au Mali, s’oppose aux tombeurs du régime IBK. Toute chose qui constitue un nouveau défi à relever pour l’ancien président nigérian dans sa mission à plusieurs rebondissements.

ANDROUICHA
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Il s’agit d’une oeuvre de ceux qui sont jaloux de l’accord de paix et de réconciliation signé en juin.
C’est un acte anodin visant seulement les occidentaux.
Les services de sécurité maliens sont trop défaillants.
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