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Elections présidentielles 2018: Bocary Tréta, terroriste verbal en campagne forcée
Publié le vendredi 10 fevrier 2017  |  Bulles Option
Atelier
© aBamako.com par Androuicha
Atelier de renforcement des capacités des cadres du RPM
Bamako, le 10 janvier 2017. Le Rassemblement Pour le Mali (RPM) a ouvert dans la salle de conférence du Conseil National du Patronat un atelier dit de renforcement des capacités des membres de son Bureau Politique National.
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Selon le dictionnaire électronique français, le terrorisme est : « L’emploi de la violence pour atteindre un but politique ». Le même dictionnaire ajoute : « Au sens figuré : Attitude d’intimidation. » Ce mot terrorisme a comme racine : La Terreur qui signifie Peur et Panique. Donc, le terroriste est celui ou celle qui sème la peur et la panique.
Au Mali, en cette période du régime IBK, on aura tout entendu et tout vu. Ce qui fait que le ridicule ne fait qu’engraisser des politiciens très mal inspirés. Ceux-ci se permettent impunément de semer la terreur verbale au sein des populations. Ainsi dans de telle situation, certaines personnes, à la moralité très douteuse, se servent des invectives et des intimidations comme armes politiques. Tel fut le cas du Bo Tréta, président du parti au pouvoir, qui foule aux pieds toute Légalité républicaine, en lançant sur le visage des maliens ces propos sinistrés : « Le RPM est une famille et IBK est le chef de famille… Pour atteindre IBK, il faudra d’abord marcher sur nos cadavres.», a-t-il, en mars 2016, ainsi évoqué une tragédie populaire pour plaire à son nouveau demi-Dieu IBK. Pourtant, ce même Tréta, dans sa quête du poste de premier ministre, était, il y avait moins de 3 mois, le chef des frondeurs contre le même IBK. En décembre 2016, en semeur de troubles, il n’a pas hésiter de tonner :« IBK sera candidat en 2018 et réélu malgré tout ce que les gens disent »
L’inconséquent président du parti RPM sait-il qu’il n’a fait que se ridiculiser et compromettre lourdement une éventuelle candidature à la présidence de son « ami » IBK lors des prochaines élections de 2018 ? Car, le fameux Tréta vient de lancer illégalement, un an et un mois à l’avance, la campagne électorale d’un président en exercice qui ne le désavoue pas du tout. Cette silencieuse approbation indique la totale complicité entre Notre très Bo Tréta, président autoproclamé du terrorisme verbal et Notre très bon pilote président IBK plébiscité mais perturbé par sa famille d’abord et ses « amis » à bord. Deux présidents prêts à préparer le bourrage des urnes et le trucage des résultats électoraux. Bo Tréta terrorise ainsi de nombreux maliens qui ne veulent plus de ce régime IBK. Ne jouez pas avec le feu…
Le risque est trop grand. Le peuple malien si tolérant soit-il n’est pas près à tout tolérer dèh ! A yé Sabali !
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Il s’agit d’une oeuvre de ceux qui sont jaloux de l’accord de paix et de réconciliation signé en juin.
C’est un acte anodin visant seulement les occidentaux.
Les services de sécurité maliens sont trop défaillants.
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